Photographie Documentaire
Trois regards complémentaires sur la photographie documentaire. On travaille ensemble depuis 2019, et chaque projet nous apprend quelque chose de nouveau sur comment raconter des histoires visuelles qui résonnent vraiment.
Directeur artistique
Formé aux Beaux-Arts de Nancy, Ludovic a passé sept ans à documenter les transformations urbaines en Lorraine. Son approche mêle rigueur architecturale et sensibilité humaine. Il coordonne maintenant tous nos projets documentaires avec une attention particulière aux récits qui émergent des lieux.
Photographe principal
Après des études de sociologie à Strasbourg, Bastien s'est tourné vers la photographie documentaire pour explorer les communautés rurales. Il aime particulièrement les séries longues qui demandent du temps et de la patience. C'est lui qui capture l'essentiel de nos images terrain depuis 2020.
On a créé fenavirox en janvier 2019 avec une idée assez simple : la photographie documentaire mérite mieux que des traitements superficiels. Chaque projet commence par des conversations longues avec nos clients pour comprendre ce qu'ils cherchent vraiment à montrer.
Notre studio à Metz est petit mais ça nous va bien. On préfère passer notre temps sur le terrain plutôt qu'enfermés dans un bureau. Les projets durent généralement entre trois et huit mois selon leur complexité. On ne court pas après la quantité.
Olivier Dumas nous a rejoints en mars 2021 après quinze ans dans la post-production photo à Paris. Il gère tout ce qui touche à la technique : calibration des couleurs, archivage numérique, préparation des fichiers pour l'impression.
Son expérience dans le secteur éditorial nous aide beaucoup quand il faut livrer des images pour différents supports. Olivier travaille souvent en décalé avec nous parce que la retouche demande du calme et de la concentration.
On prend le temps d'expliquer notre démarche aux personnes qu'on photographie. Leur consentement éclairé est essentiel. On leur montre toujours les images avant publication.
Pas de mise en scène artificielle ni de retouche lourde. On ajuste l'exposition et les couleurs, c'est tout. Les images doivent refléter ce qu'on a vraiment vu sur place.
Les bons projets documentaires demandent du temps. On construit des relations durables avec nos clients et on suit l'évolution des sujets qu'on documente quand c'est pertinent.
On travaille principalement avec des boîtiers Fujifilm moyen format pour la qualité d'image qu'ils offrent. Les optiques sont choisies selon les projets mais on privilégie les focales fixes entre 35 et 85mm.
L'équipement d'éclairage reste minimal. On préfère la lumière naturelle quand c'est possible. Pour l'archivage, on maintient trois copies de chaque projet sur des supports différents. La sauvegarde, c'est pas glamour mais c'est ce qui compte vraiment sur le long terme.